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Lire et voir l'expérience d'un groupe de personnes ayant engagé une pratique collective durant l'été 2015 : Un été sans prof

Lire et voir l'expérience personnelle de chacun ci-dessous :

Un petit clin d'œil à vous tous... N'ayant pas la possibilité de venir au cours hebdomadaire actuellement, je pratique le Yoga à mon rythme et aux heures qui me conviennent. Et je suis convaincue qu'une pratique régulière amène le calme de l'esprit.

               Sonya

"The divine in me honors the divine in you"
 

          C’est un dessin que j’ai fait pendant le stage de Cathy Boyer à La Buisse... Cette sensation d’être soutenue par ce matériel, et par la bonne énergie qui régnait dans la salle. Je me suis sentie tout là haut, portée et apaisée. Je n’avais jamais aperçu ce côté douillet et enrobant du yoga. Alors ce "bazar" je l’aime beaucoup. Il me ressemble un peu...
          Quelle douceur, quelle chaleur, quelle belle expérience, toutes ces belles personnes… J’ai vraiment eu plaisir à me fondre dans cette ambiance. L’absence de jugement est très bénéfique, et pour la première fois aucun jugement n’est venu de moi non plus. J’avais déjà décidé que j’irai bien depuis quelque temps, mais, là, pendant ces deux jours de stage, j’ai compris comment faire. On réfléchit bien quand on ouvre le corps, quand on respire mieux !

               Sophie

                            
Ardha Chandrasana et Adho Mukha Svanasana dans le désert du Néguev, Israël

                                                            
                              
      Je pratique le yoga pour différentes raisons : chercher des étirements profonds et ressentir chaque partie de mon corps, pratiquer une activité qui me permette de faire le vide dans ma tête, faire un travail sur moi une fois par semaine. J’y trouve de l’apaisement, de la force mentale et physique, du bien-être. Je me sens toujours bien après une séance de yoga et je ressens ce bien-être pendant quelques jours : je me sens plus équilibrée, mon corps et mon esprit sont plus en harmonie ce qui me donne de la force dans mes activités quotidiennes.
     J’aime l’idée d’avoir un cours par semaine à un moment donné, sur un lieu donné : c’est un peu MON espace-temps.

         Line

Vrksasana... l'arbre

        Une pratique régulière du yoga depuis plusieurs années m’a appris à écouter mon corps pour mieux en prendre soin. Il m’apporte une attention surprenante qui donne parfois un signal dans la vie quotidienne pour corriger ma posture ou soigner ma respiration.
        L’apprentissage est progressif, avec des moments de stagnation et des moments où les choses se libèrent : ces petites réussites qui donnent l’envie de continuer ! C’est à mon sens un complément intéressant à d’autres activité sportives car il fait travailler le corps avec maitrise et en profondeur. Se fixer un petit objectif peut aussi être utile pour aller plus loin et envisager certaines postures plus poussées. L’ambiance sereine et studieuse qui domine le cours constitue aussi un agréable moment de partage, un repère dans la semaine.
        Nul doute pour moi désormais, le yoga se conjugue très bien au masculin !

        Olivier

      J’étais à la recherche d’une activité qui me permette de « me retrouver » intérieurement tout en faisant travailler mon corps avec douceur. C’est un vrai moment de pause qui m’apporte un bien être plus que physique : le soir du cours de yoga, je suis cool… et m’endors facilement. Certaines postures m’étaient inimaginables (poirier et tout ce qui est tête en bas…) et je commence en fait à avoir moins d’appréhension… même si ce n’est pas encore ma tasse de thé !
      J’aime beaucoup l’entrée en séance, cette transition avec la journée…

        Elisabeth

                         
                                                                                                                                                Variations autour de Sirsasana...                                                                                                       

      J’ai commencé le yoga pour retrouver un minimum de force et de souplesse (en début d’année), et maintenant je le fais parce que j’aime découvrir toutes « ces petites choses de mon corps », et j’aime sentir que tout est lié en nous. En fait je n’avais pas tellement envie de faire du yoga, mais en raison de tendinites, c’était la seule façon de faire un peu de « sport ».
      J’ai effectivement beaucoup plus de force et de souplesse que je ne l’aurais imaginé en début d’année et je me sens plus positive car… j’ai eu envie de tout arrêter… et je sais maintenant que je peux surmonter des sensations et des émotions négatives. Très vite j’ai compris que je m’étais trompée sur le yoga. Et maintenant quand je dis aux gens que je fais du yoga et que je vois ce petit sourire sur leurs lèvres, je leur dis « venez voir, c’est autre chose ! » et je souris à mon tour, en les imaginant avec de belles courbatures…

Sonya

Matsyasana, poisson sur la mer morte

      Je dois avouer que jamais je n’aurais pensé que je ferais un jour du yoga, cette pratique était synonyme pour moi de détente, relaxation et méditation, de quelque chose d’ennuyeux et vaguement ésotérique choquant ma culture rationaliste. J’y suis arrivé sur les conseils d’une ex-collègue de travail, aujourd’hui professeur de yoga qui m’expliqua que le yoga Iyengar est un peu différent et que cela pourrait me convenir. Mon travail étant très physique, j’ai en effet souvent des douleurs au dos et genoux et je sais que je dois faire quelque chose si je veux pouvoir continuer dans ce métier.
      Je ne comprends pas grand-chose au discours du professeur lors du premier cours : plein de termes anatomiques totalement inconnus, des zones du corps que l’on doit mettre en mouvement mais qui semblent inaccessibles, des positions bizarres et impossibles à réaliser. Je m’inscris quand-même et me voilà lancé dans la grande aventure du yoga.  Les progrès sont lents mais comme aime à le répéter notre professeur : «  n’ayez pas  d’attentes ».
      Donc je continue, mon corps s’assouplit, mon mental moins…  qui reste toujours en ébullition et que seules la fatigue et l’exigence des postures arrivent parfois à faire baisser la garde. J’avance par vagues, des choses se mettent en place soudainement, parfois après les vacances et des semaines sans pratique, cela restant toujours un peu mystérieux. Mais on avance, on comprend le fonctionnement de son corps, on prend conscience de ses limites.
      Aujourd’hui, après 6 ans de pratique, le yoga est devenu  indispensable à mon équilibre, même s’il reste en grande partie un exercice physique, le côté spirituel m’étant encore difficilement accessible. J’y travaille pourtant, sans attente, mais avec la certitude d’aller un peu plus loin. Car la grande force du yoga, c’est qu’une fois que vous l’avez rencontré, que vous avez aperçu le chemin, il est bien difficile de faire machine arrière car vous savez, malgré la longueur et la difficulté de la route que vous êtes sur la bonne voie.

        Pierrick

      Je pratique pour faire du bien à mon corps afin que mon âme ait envie d’y rester (proverbe indien que je fais mien !). J’y trouve une meilleure connaissance des limites… illimitées de mon corps, à travers des postures poussées toujours plus loin. J’apprécie particulièrement le moment de communion du Ôm.

          Anne

      La pratique du yoga durant ma grossesse m'a beaucoup apporté. Physiquement cela m'a permis de vivre ces neuf mois sans mal de dos, ce qui n'était pas le cas au cours de ma première grossesse. D'une façon plus générale, je me suis sentie tout simplement bien, en accord avec ce corps qui vit de multiples changements. Psychiquement, cela m'a aidée à me sentir centrée sur les choses importantes, à ne plus fonctionner qu'avec le cerveau...
Ensuite c'était un vrai plaisir de retrouver un professeur qui a vraiment été à l'écoute et a su adapter la pratique à mon "état du jour". Le groupe a aussi été très ressourçant.
Pour toutes ces raisons le cours de yoga est devenu un moment immanquable. Enfin, je n'étais pas seule durant tous ces mois de pratique du yoga, mon bébé était vraiment présent et aujourd'hui c'est un petit garçon très tranquille et souriant ! Y aurait-il un lien ?

Martine

                                                                               en méditerranée :           Supta padangusthasana                                     et                                                           Adho mukha svanasana
               

      Avec le yoga, et surtout pendant les ateliers, je redécouvre la force que nous avons à travailler à plusieurs, à nous entraider. Samedi dernier nous avons été plusieurs à nous étonner de ce que nous avons pu réaliser : le pont notamment. Nous avons parlé d'échauffement pour nous y amener, mais nous avons oublié de préciser que nos camarades étaient là pour nous soutenir.
 Dans cette société qui nous a poussés à être de plus plus individualistes, le Yoga m'a fait redécouvrir  cette valeur, cette force. Et plutôt réservée de nature, ces exercices à plusieurs me poussent à aller vers l'autre, à lui faire confiance et je ressens un vrai bonheur voire un soulagement.

            Elisabeth

          Pourquoi du yoga et pas de la gym ? pourquoi du yoga et pas de la danse ? pourquoi du yoga et pas autre chose ?
Déjà parce que le cours est à côté de chez moi, pas besoin de prendre la voiture ! Parce que ce yoga m’apporte cette conscience, d’associer au mouvement le ressenti, l’écoute de ce que le corps dit, j’apprends à mieux me connaitre, je me découvre, je travaille la concentration qui me fait défaut.
Pratiquer le yoga avec le groupe m’apporte une sécurité, une détente, un réconfort, parce que l’énergie qui s’y dégage est positive pour moi. C’est un moment privilégié que je n’arrive pas à retrouver chez moi.
        Je ne retiens pas le nom des postures, cela me demande un effort et je n’ai pas envie de le faire pour le moment ! Le soir, je suis fatiguée, me laisser guider me détend.
Je sens des changements sur ma tenue et ma façon de gérer les difficultés. Et au fil des ans vient la capacité à relâcher les tensions, à sentir des zones de mon corps auparavant inconnues : merveilleuses et douloureuses découvertes !
        J’aime beaucoup les torsions, parce qu’elles sont tellement tordues parfois que je trouve rigolo d’aller se mettre dans de telles positions !  J’aime aller vers l’arrière parce que je « respire »… les postures debout, en équilibre et inversées, parce que je mets mon corps à l’épreuve. Je n’aime pas trop les postures vers l’avant car le blocage est tel que parfois de la colère peu venir mais c’est très intéressant d’apprendre à accepter ces limites.

           Françoise

                                                   
                                        Sirasana en plein champ                                                                                                                ou à Cuba                                                                                          
 
    

     Les cours particuliers que je prends  (tous les 2 ou 3 mois depuis un an) m'ont permis, en ayant l'attention du professeur "rien que pour moi", de vaincre certains freins liés à des blocages réels ou imaginaires. J'ai pu essayer des postures nouvelles et me rendre compte que je pouvais y arriver. De plus, on prend le temps de parler, si bien que les questions de plus en plus techniques et personnelles trouvent une réponse dans cette relation en tête à tête.
Je suis passée d'une séance de yoga par semaine à trois, voire plus pendant les vacances et donc, j'avance plus vite et tout cela a aussi des répercussions positives sur ma vie personnelle.

Sylvie

     Un premier cours en tête à tête avec sa prof de yoga ça déstabilise un peu, il n'y a personne d'autre à regarder...mais lorsque l'on sort de ce cours on est heureux d'avoir éclairci certains points, ajusté certaines postures et finalement obtenu quelques outils pour améliorer sa pratique personnelle.

Sandrine

     C’est une manière de prendre soin de moi, de me retrouver avec moi-même, d’être attentive à mon corps et à mes ressentis, d’être dans l’instant présent, de me re-centrer… Le Yoga, c’est un espace de découverte de mes possibilités (que je sous-estime souvent) et aussi de mes limites (celles que je me mets), de mes fragilités du moment parfois, c’est aussi un moment de partage et d’échange.
 J’y trouve de l’apaisement, une conscience de mon corps que je n’avais pas avant, une conscience de ma respiration que je n’avais pas non plus, et que je bloquais très souvent ! … de l’humilité : l’objectif n’est pas d’être dans la performance mais dans le ressenti, de l’ouverture et un peu plus de souplesse aussi je crois, dans ma vie quotidienne.
Il y a des postures auxquelles j’accède un peu mieux maintenantt, notamment vers l’avant… même si je ressens encore beaucoup de rigidité, cela évolue. Je me sens particulièrement bien dans les postures vers l’arrière et les torsions qui m’aident à faire circuler l’énergie, les émotions aussi…
Je suis fan de la relaxation, j’aime également sentir le souffle trouver son chemin, parfois dans des postures où on a l’impression qu’il ne pourra pas passer… J’ai beaucoup aimé la séance en silence, qui nous a poussés à davantage nous prendre en charge, cela m’a donné une sensation de fluidité et de légèreté.

Pascale

Femmes enceintes : Sarvangasana en détente

     Je dirais que pendant ma grossesse, mon corps pouvait être plutôt "contraignant" dans la vie quotidienne : au travail, pour les tâches de la maison (encombrement, petites douleurs, etc). La pratique du yoga me donnait l'occasion de me "réconcilier" avec mon corps, en retrouvant de bonnes sensations grâce à des postures de confort et d'ouverture, et donc de passer un bon moment avec mon bébé.

Juliette

     Le yoga est l’activité que j’ai pu poursuivre tout au long de ma troisième grossesse. Avec des adaptations personnalisées, j’ai pu suivre les cours habituels et je me souviens encore avec étonnement des capacités de mon corps à quelques semaines de mon accouchement.
     J'ai découvert des postures de détente qui ont soulagé mes douleurs de sciatique et j J’ai pu régulièrement les mettre en pratique à la maison lorsque je ressentais des tensions ou bien tout simplement pour être bien. Ainsi, je n’ai pas ressenti de blocages du dos comme lors de mes deux précédentes grossesses (sans pratique du yoga)
     De plus, les séances ont été un moment d’échanges privilégiés avec mon bébé : je prenais enfin le temps d’être à l’écoute de mon corps et bébé bougeait beaucoup. Le yoga m’a permis donc de me recentrer sur moi et mon enfant, ce qu’on a tendance à oublier pour une troisième grossesse !
Aujourd’hui, mon entourage s’étonne de la souplesse et de l’agilité de ma petite fille qui a maintenant neuf mois , est-ce grâce au yoga in utero ?

          Nathalie

J'ai commencé à pratiquer il y a 27 ans.  Avec mon épouse nous arrivions dans la région et ne connaissant personne, ce fut tout d'abord un lieu qui nous permit de faire des connaissance, créer des liens. A l'époque, je pratiquais l'escalade et ces quelques heures de Yoga par semaine ont contribué à améliorer souplesse et concentration. Avec les années, j'ai découvert plusieurs "facettes" de cette activité car j'ai eu la chance de pratiquer avec différents professeurs.Grâce à tous, j'ai appris à mieux respirer, à être zen, plus serein face à certaines situations.
Dans tous les cas, chacun pratique à son niveau, la compétition n'existe pas.
Ces dernières années je ne peux plus assister aux cours de façon régulière, et les "lundis" sans Yoga conduisent parfois à des semaines moins faciles, un  vrai manque se fait ressentir.
Le summum pour moi serait d'accéder à la voie royale, celle qui mène à la vraie spiritualité. Donc encore de belles et longues années de pratique en vue.

Jean-Yves

     C’est l’unique activité de la semaine, donc le moment détente où je recharge les batteries ! Sous l’impulsion du prof, je réalise des mouvements que je n’aurais jamais imaginé faire seule, c’est donc un moment de dépassement qui me fait réaliser le potentiel de mon corps. Cela me donne confiance en moi. Cela m’apporte de la sérénité, du repos, du calme ou au contraire de l’excitation et du tonus si la séance est très tonique.
J’adore les étirements intenses comme uttanasana, les torsions et les postures de récupération comme viparita karani. Je commence même à apprécier la posture sur la tête !
Travailler avec du matériel m’aide beaucoup : j’aime bien les nouvelles briques en liège toutes légères, les bolsters colorés, les ceintures et, pour moi la frileuse…les couvertures !

              Séverine

                                                                                                              
                                                    Pranayama à 4500 m ou comment bien respirer...                                                                                          ...sur les hauts plateaux du Ladakh

     C’est pour moi comme une médecine qui procure un bien-être physique et mental. Je suis beaucoup dans le mouvement et les postures m’apportent la stabilité, le recentrage, le calme. J’aime la simplicité chez les profs, les compagnons : cela change des pratiques sportives où chacun veut briller !
Quand je pratique régulièrement, je n’ai plus de maux de tête, et je sens que je commence à avoir accès à mon bassin, même si c’est encore léger et difficile.
J’aime le début d’un cours, la fin d’un cours aussi… et toutes les formules : le cours hebdomadaire, les ateliers à thème, le week-end de stage fut un bonheur !

            Géraldine

     La pratique du yoga est devenue peu à peu une nécessité, puis une évidence. Je n'envisage pas de revenir en arrière. Il y a un avant yoga et un après, dans ma vie. Cela peut paraître prétentieux, mais c'est juste vrai. J'y suis venue parce que j'avais envie d'une pratique corporelle, juste pour moi, en étant sûre de ne me faire que du bien, ce que je n'avais encore jamais trouvé dans mes expériences précédentes.
     Le yoga a quasi résolu toutes mes petites douleurs de dos, de ventre, de genoux, de ci, de là.... Le yoga a changé ma posture corporelle, je me sens mieux dans mon corps. Le yoga a changé ma façon d'appréhender les évènements du quotidien, mes rapports avec les autres, dans ma famille ou dans mon travail.
     C'est  devenu une pratique personnelle. Beaucoup moins que ce que je  voudrais. J'ai du mal à prendre mon tapis, juste pour moi toute seule, à prendre le temps de pratiquer. Mais régulièrement dans la journée quand je sens une tension, de la fatigue, un stress ou simplement une envie... je m'étire, je respire, je prends la posture qui me vient à l'idée si le lieu le permet. Ça peut être simplement un Tadasana. Ou bien je m'imagine en train de faire ce qui m'est venu à l'esprit.
     Bien sûr les cours me sont indispensables. Ils me semblent adaptés à notre niveau à chacun, à nos besoins du jour, à nos difficultés personnelles, passagères ou non. Moi qui passe mon temps à prendre soin des autres, à les écouter, à proposer ce qui pourrait leur faire du bien...., il y a enfin quelqu'un qui fait tout cela pour moi.
     Mes préférences ? Il n'y en a pas vraiment. C'est plutôt la variété des cours, la diversité des postures, les variations sur les postures. C'est le fait que l'on ne sait jamais ce que l'on va faire et que l'on ne s'ennuie jamais. Où va être la nouveauté, jusqu'où  vas-tu nous emmener, nous guider, jusqu' où  vais-je aller ? C'est l'instant où je sens que j'ai atteint quelque chose de neuf, qu'il s'est ouvert un nouvel espace, une nouvelle porte dans mon corps ou ailleurs.
     Ce que je n'aime pas : c'est le lundi de Pâques et de Pentecôte, la longue coupure des vacances, et aussi Halasana ....

Anne